Quentin Clément
Ecrivain YouTubeur
Né le 11 février 1989 à Liège (Belgique), dernier né d’une famille de quatre enfants, d’un père gardien de prison et d’une mère femme au foyer.
J’ai grandi dans la région de Verviers, une ville connue pour son musée de la laine et une forte délinquance.
Pour faire simple, j’ai passé mon enfance à jouer à des jeux vidéo et mon adolescence à aller à des concerts de metal.
À 16 ans, je perds ma mère, atteinte d’un cancer du poumon. Cette expérience et celles qu’elle a engendrées m’ont poussé à m’affirmer et à prendre des responsabilités en tant qu’adulte.
Peu après, j’ai quitté les études générales pour lesquelles je ne ressentais plus aucun intérêt et me suis tourné vers une école technique alors que mon père et moi déménagions pour la région de Liège.
J’ai quitté le domicile parental à 20 ans, juste avant la fin de mes études secondaires, et ai démarré une formation d’animateur radio avant de devenir bénévole sur EquinoxeFM où j’ai, pendant un temps, animé ma propre émission « Images on air » qui traitait de l’actualité fantasy, science-fiction, jeux vidéo, de plateau ou de rôles, etc.
Malheureusement, cette formation ne m’ouvrira pas de vrai travail et j’ai donc enchaîné les petits boulots parsemés de périodes de chômage plus ou moins longues.
De serveur chez Quick à la délégation commerciale en passant par éboueur, j’ai fini par suivre une formation pour travailler dans l’industrie et suis devenu tourneur fraiseur.
À 27 ans, j’ai rencontré la femme que je finirai par épouser le 7 novembre 2020 après avoir dû repousser par deux fois la cérémonie à cause du Covid.
Aujourd’hui marié et sans enfant, je vis dans un petit appartement quasiment à la campagne proche de sentiers et de bois où je peux promener mes chiens.
L’un dans l’autre, je vis la vie que j’aurais voulue.
J’ai grandi dans la région de Verviers, une ville connue pour son musée de la laine et une forte délinquance.
Pour faire simple, j’ai passé mon enfance à jouer à des jeux vidéo et mon adolescence à aller à des concerts de metal.
À 16 ans, je perds ma mère, atteinte d’un cancer du poumon. Cette expérience et celles qu’elle a engendrées m’ont poussé à m’affirmer et à prendre des responsabilités en tant qu’adulte.
Peu après, j’ai quitté les études générales pour lesquelles je ne ressentais plus aucun intérêt et me suis tourné vers une école technique alors que mon père et moi déménagions pour la région de Liège.
J’ai quitté le domicile parental à 20 ans, juste avant la fin de mes études secondaires, et ai démarré une formation d’animateur radio avant de devenir bénévole sur EquinoxeFM où j’ai, pendant un temps, animé ma propre émission « Images on air » qui traitait de l’actualité fantasy, science-fiction, jeux vidéo, de plateau ou de rôles, etc.
Malheureusement, cette formation ne m’ouvrira pas de vrai travail et j’ai donc enchaîné les petits boulots parsemés de périodes de chômage plus ou moins longues.
De serveur chez Quick à la délégation commerciale en passant par éboueur, j’ai fini par suivre une formation pour travailler dans l’industrie et suis devenu tourneur fraiseur.
À 27 ans, j’ai rencontré la femme que je finirai par épouser le 7 novembre 2020 après avoir dû repousser par deux fois la cérémonie à cause du Covid.
Aujourd’hui marié et sans enfant, je vis dans un petit appartement quasiment à la campagne proche de sentiers et de bois où je peux promener mes chiens.
L’un dans l’autre, je vis la vie que j’aurais voulue.
En 2009, je commence la pratique de l'escrime médiévale au sein d'une compagnie nommée "Les Deux Tours". J'y apprends les bases et le perfectionnement du combat à l'épée jusqu'à la chute des Deux Tours en 2012, permettant la naissance de la Compagnie Chevaleresque des Épées d'Argent pour laquelle je combats toujours aujourd’hui.
La pratique de ce sport, en plus de me procurer du plaisir mais aussi quelques douleurs parfois, m'a permis de mieux appréhender le combat et de mieux comprendre ses mécaniques afin de retranscrire dans mes écrits des scènes d'action aussi réalistes que possible.
Malheureusement, suite à plusieurs problèmes de santé, j'ai dû arrêter la pratique de ce sport en 2023.
La Compagnie Chevaleresque des Épées d'Argent s'entraîne tous les mercredis hors vacances scolaires de 19h à 21h à l'École Joseph Distexhe à Ougrée.
La pratique de ce sport, en plus de me procurer du plaisir mais aussi quelques douleurs parfois, m'a permis de mieux appréhender le combat et de mieux comprendre ses mécaniques afin de retranscrire dans mes écrits des scènes d'action aussi réalistes que possible.
Malheureusement, suite à plusieurs problèmes de santé, j'ai dû arrêter la pratique de ce sport en 2023.
La Compagnie Chevaleresque des Épées d'Argent s'entraîne tous les mercredis hors vacances scolaires de 19h à 21h à l'École Joseph Distexhe à Ougrée.
crédit@Chablis MMO
Je ne me suis jamais caché de ma passion pour les jeux vidéo, très spécialement les RPG et plus spécifiquement occidentaux. En 2004, j’avais quinze ans, j’ai participé à ma toute première partie de jeu de rôle, Warhammer.
Cette possibilité de non pas seulement suivre l’histoire d’un personnage, mais de véritablement l’incarner a été une révélation pour moi.
J’aime varier les personnages que je joue. Du guerrier brutal mais honorable de Pathfinder au pilote mercenaire et magouilleur de Star Wars D6, je pense être passé par toutes les classes.
J’ai aussi fait pas mal de GN, même si j’ai vu un très net changement des mentalités dans ce milieu avec les années et qu’aujourd’hui je n’en fais plus que très peu.
Peut-être aurons-nous le plaisir de croiser le fer ensemble, un jour ?
Cette possibilité de non pas seulement suivre l’histoire d’un personnage, mais de véritablement l’incarner a été une révélation pour moi.
J’aime varier les personnages que je joue. Du guerrier brutal mais honorable de Pathfinder au pilote mercenaire et magouilleur de Star Wars D6, je pense être passé par toutes les classes.
J’ai aussi fait pas mal de GN, même si j’ai vu un très net changement des mentalités dans ce milieu avec les années et qu’aujourd’hui je n’en fais plus que très peu.
Peut-être aurons-nous le plaisir de croiser le fer ensemble, un jour ?
L’autre grande passion de ma vie, c’est la musique. Éduqué par un père fan de hard rock, j’ai grandi au son d’Iron Maiden, Black Sabbath et Motorhead.
Je garde une place spéciale dans mon cœur pour les sonorités metal même si je n’aime pas tous les styles (ne me parlez pas de Slayer et de Pantera, par exemple…)
J’aime la musique qui voyage, qui raconte des histoires sans avoir forcément besoin d’avoir un texte, ce qui compte c’est l’émotion et l’atmosphère qu’elle retranscrit. Des garages crasseux d’un futur post-apocalyptique de Judas Priest aux forêts sauvages d’Omnia en passant par les étendues de l’ouest sauvage avec un vieux country.
Le seul style musical dont je n’ai réellement jamais entendu un morceau qui me plaise, c’est le jazz…
Pour le reste, le haut du podium de mes goûts musicaux est partagé par le metal avec une touche épique (Wind Rose, Sabaton, Angus McSix pour n’en citer que trois) et les compositions symphoniques, elles aussi épiques (Thomas Bergersen, Antti Martikainen, Tartalo Music pour n’en citer toujours que trois).
Je garde une place spéciale dans mon cœur pour les sonorités metal même si je n’aime pas tous les styles (ne me parlez pas de Slayer et de Pantera, par exemple…)
J’aime la musique qui voyage, qui raconte des histoires sans avoir forcément besoin d’avoir un texte, ce qui compte c’est l’émotion et l’atmosphère qu’elle retranscrit. Des garages crasseux d’un futur post-apocalyptique de Judas Priest aux forêts sauvages d’Omnia en passant par les étendues de l’ouest sauvage avec un vieux country.
Le seul style musical dont je n’ai réellement jamais entendu un morceau qui me plaise, c’est le jazz…
Pour le reste, le haut du podium de mes goûts musicaux est partagé par le metal avec une touche épique (Wind Rose, Sabaton, Angus McSix pour n’en citer que trois) et les compositions symphoniques, elles aussi épiques (Thomas Bergersen, Antti Martikainen, Tartalo Music pour n’en citer toujours que trois).
Je pratique aussi le tir récréatif depuis 2014. Loin des stéréotypes véhiculés par certaines séries américaines, le tir est avant tout une pratique nécessitant calme et maitrise de soi, plus proche de la méditation que du défouloir.
Si j'ai commencé avec un Browning 1922 calibre 7.65 (cadeau d'anniversaire de la part de mon père pour mes 25 ans, cette arme étant la même que celle que son grand-père avait comme arme de service alors qu'il était garde à la FN), je me suis ensuite essayé à divers calibres.
J'ai trouvé mon bonheur avec le célèbre Colt M1911 calibre .45 (dont je possède une réplique de chez Norinco) pour la sensation de tir mais aussi avec la carabine Golden 39A de chez Marlin, calibre .22 lr, dont j'aime particulièrement le look, mais aussi le côté ludique du levier sous garde et évidemment sa précision.
Pour le reste, je ne suis pas "passionné" par les armes à feu. J'aime la pratique du tir mais cela s'arrête là et mes connaissances en la matière ne sont pas plus poussées que cela.
Si j'ai commencé avec un Browning 1922 calibre 7.65 (cadeau d'anniversaire de la part de mon père pour mes 25 ans, cette arme étant la même que celle que son grand-père avait comme arme de service alors qu'il était garde à la FN), je me suis ensuite essayé à divers calibres.
J'ai trouvé mon bonheur avec le célèbre Colt M1911 calibre .45 (dont je possède une réplique de chez Norinco) pour la sensation de tir mais aussi avec la carabine Golden 39A de chez Marlin, calibre .22 lr, dont j'aime particulièrement le look, mais aussi le côté ludique du levier sous garde et évidemment sa précision.
Pour le reste, je ne suis pas "passionné" par les armes à feu. J'aime la pratique du tir mais cela s'arrête là et mes connaissances en la matière ne sont pas plus poussées que cela.
Si l'écriture est un rêve d'enfant et une passion plus qu'un loisir, l'auto-édition et les revenus de YouTube ne me permettent évidemment pas de payer mes factures. Mon véritable emploi est tourneur-fraiseur (la photo située à gauche représente un petit bougeoir que j'ai réalisé durant ma formation à partir d'un cylindre d'aluminium).
Quel rapport l'écriture a-t-elle avec ce métier du domaine de la mécanique ? Aucun. Je n'ai jamais apprécié ce stéréotype de l'écrivain qui travaille dans des branches littéraires et ne pense qu’aux bouquins.
J'aime mon travail consistant à partir d'un bloc de métal brut pour en faire une pièce utile avec une précision de quelques dizaines de microns.
Croyez-le ou non, mais il y a une certaine poésie à voir ces puissantes machines tailler l'acier, ainsi qu'une grande fierté à observer le fruit de notre labeur prendre forme pour devenir un bel objet à partir d'un bloc informe, après avoir parfois dû bricoler des solutions surréalistes et réalisé des calculs de trigonométrie pour arriver à réaliser certaines pièces complexes.
Quel rapport l'écriture a-t-elle avec ce métier du domaine de la mécanique ? Aucun. Je n'ai jamais apprécié ce stéréotype de l'écrivain qui travaille dans des branches littéraires et ne pense qu’aux bouquins.
J'aime mon travail consistant à partir d'un bloc de métal brut pour en faire une pièce utile avec une précision de quelques dizaines de microns.
Croyez-le ou non, mais il y a une certaine poésie à voir ces puissantes machines tailler l'acier, ainsi qu'une grande fierté à observer le fruit de notre labeur prendre forme pour devenir un bel objet à partir d'un bloc informe, après avoir parfois dû bricoler des solutions surréalistes et réalisé des calculs de trigonométrie pour arriver à réaliser certaines pièces complexes.